MMA – Dana White, président de l’UFC, parle religion et vie après la mort
Dana White, le président directeur général de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), a récemment dévoilé ses pensées sur la religion, la vie après la mort, et la mort de ses parents. Une conversation intime et rare qui jette une nouvelle lumière sur un personnage principalement connu pour ses activités professionnelles.
Dana White et la Religion
White est né dans une famille catholique, un sujet sur lequel il a échangé avec Piers Morgan lors d’une entrevue. Cependant, malgré un parcours religieux dont il admet ne pas avoir été particulièrement influencé, White se dit aujourd’hui largement éloigné de la foi.
« Je suis allé à l’école catholique et j’étais enfant de chœur. Je ne sais pas comment tout cela m’a positivement affecté vis-à-vis de la religion. Ces jours-ci, je ne suis pas une personne très religieuse. Je ne crois pas en grand-chose, mais je crois en karma. Je n’ai jamais vraiment été guidé par la religion », dit White.
Dana White au sujet de la vie après la mort
Interrogé sur sa vision de la vie après la mort, la réponse de White était simple : rien. « Je pense que c’est fini. Beaucoup de gens ont besoin de croire en quelque chose pour traverser la vie. Ce n’est pas mon cas. Je ne sais pas ce qui arrive après la mort, mais cela ne guide pas ma vie. L’important pour moi, c’est d’être une bonne personne. »
Mort de ses parents et paternité
White a également abordé le sujet délicat de ses parents et de son éducation difficile. Il admet que la manière dont il a été élevé par ses parents a façonné la façon dont il élève ses enfants aujourd’hui.
« Ma relation avec mes parents m’a beaucoup appris sur ce que je ne voulais pas être en tant que parent. L’un des sujets que je n’ai jamais abordé est que mes parents sont récemment décédés. Je ne ressens pas le besoin d’en parler. J’ai plutôt tendance à me concentrer sur mes enfants et ma relation avec eux. »
Bilan
Malgré un rapport compliqué avec ses parents, White a fait preuve d’humanité en assurant le suivi des funérailles de son père. Quant aux funérailles de sa mère, ils ont été gérées par sa proche famille.
« Quand ils sont décédés, je n’ai presque rien ressenti. J’ai pris soin de mon père, je l’ai ramené dans le Maine et l’ai fait reposer avec sa famille là-bas. Pour ma mère, sa famille s’est chargée de toute l’organisation lors de son décès. »
Cet échange révèle un Dana White attachant, loin de l’image du businessman. Cela rappelle à quel point l’homme privé peut être différent de la figure publique.