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Le regret terrible de Fernand Lopez après des violences conjugales.

Le regret terrible de Fernand Lopez après des violences conjugales.

MMA – Accusations de violences conjugales : Fernand Lopez admet sa culpabilité

Lors du PFL Paris, le combat de MMA a pris une tournure inattendue lorsque Cedric Doumbe, connu pour son tempérament de showman, a fait des accusations déconcertantes. Suite à sa victoire par KO en seulement 9 secondes, Doumbe a déclaré : « , Ce n’est pas un combat contre Jordan, c’est un combat contre Fernand Lopez. Je suis ici pour mettre KO les violences faites aux femmes ».

Contexte des allégations de Doumbe

Les commentaires de Doumbe ont révélé un conflit personnel profond entre lui et Fernand Lopez, le chef d’équipe du MMA Factory. C’est ce comportement qui aurait poussé Doumbe à quitter la salle. Suite à ces déclarations, Lopez est resté silencieux, élevant ainsi le suspense et la confusion. Cependant, quelques jours plus tard, il est sorti de l’ombre pour donner sa version dans une interview révélatrice accordée au journal Le Parisien.

Moment de regret pour Lopez

Dans cette interview, Lopez a ouvert son cœur et a parlé de son regret le plus profond. Il a admis avoir été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales il y a cinq ans. Selon ses propres mots, Lopez décrit cela comme « le geste que je regrette le plus de toute ma vie ». Il a avoué avoir frappé son ex-conjointe, un acte qu’il décrit comme injustifiable et inexcusable.

Engagement à l’amélioration

Malgré le poids de l’acte, Lopez affirme être un homme changé. Il travaille maintenant avec des fondations contre les violences conjugales pour éduquer les gens sur la prévention de ces violences. Il espère que son discours pourra aider d’autres femmes et des hommes qui ont traversé cette épreuve. Lopez souligne qu’il a payé sa dette envers la société.

Réaction aux accusations de Doumbe

Devant ces accusations critiques, Lopez décrit avoir passé une nuit horrible. Il ajoute que son ex a demandé à Doumbe d’arrêter de parler d’elle en public. Il conclut en soulignant l’importance de dénoncer les violences conjugales mais insiste sur le fait que la justice a déjà fait son travail et que l’intention de Doumbe n’était pas d’aider la cause féminine.

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